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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
5 décembre 2005 (ELLE)
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Elles s’appellent Muriel, Marie, Flauberte ou Dalila et vivent depuis cinq ou quatorze ans avec le virus du sida. Les traitement, le regard des autres, les discriminations, les enfants, l’amour, la sexualité… Elles ont accepté de nous raconter leur vie, leur galère et leurs espoirs.
Lire notre point de vue : Vivre séropositives : deux femmes du Comité des familles s’expriment dans le magazine ELLE
Le sida fut la « grande cause nationale » de l’année 2005. L’avez-vous su ? Peut-être pas. L’épidémie est passée dramatiquement inaperçue. Et pourtant, cette anné, 3 millions de personnes en sont mortes dans le monde.
En France, 100000 personnes survivent avec le virus, dont un tiers de femmes. Et le VIH ne frappe pas au hasard : les plus précaires sont les plus touchées. Deux femmes infectées sur trois sont ouvrières ou employées. Une sur trois est étrangère.
En 2003 encore, 6000 personnes ont appris leur séropositivité : la moitié de ces nouveaux patients sont des patients, souvent jeunes et originaires d’Afrique subsaharienne. Testées et soignées à temps, elles peuvent miser sur une espérance de vie d’environ vingt-cinq ans. « Les trithérapies antirétrovirales, disponibles en France depuis 1996, ont fait du sida une maladie chronique », notaient les experts fin 2004.
Désormais, les séropos peuvent conjuguer leur vie au futur : fonder une famille, (re)trouver l’amour, faire des projets. Facile ? Certainement pas. Quels que soient leur âge et leurs parcours, nombreuses sont les femmes infectées qui luttent, au quotidien, contre les maladies opportunistes. Pour la plupart d’entre elles, les traitements sont lourds, leurs effets secondaires, ravageurs. Plus de la moitié ont dû quitter leur job, 29% sont frappés d’invalidité. Et puis il y a le regard des autres : 28% d’entre elles se sont, un jour, senties discriminées par un collègue, 60% par un médecin, 31% par un partenaire sexuel selon l’enquête de Sida Info Service en 2005. Stigmatisation, précarité, solitude : tels sont encore les dégâts collatéraux du virus.
Comment cohabite-t-on avec le VIH aujourd’hui ? Quatre femmes se confient.
Marie, 32 ans : « Pour lutter contre le VIH, la haine n’est pas un bon moteur. »
« Je suis séropositive depuis l’âge de 20 ans. Pour moi, il est important de témoigner, non seulement parce que l’image des femmes séropositives reste associée à la toxicomanie et à la prostitution, mais aussi pour mon fils, pour qu’il n’ait pas honte de sa séropositivité. J’ai été contaminée pendant ma grossesse par un conjoint qui était dans le déni total de sa maladie. Je ne lui en veux pas : je l’ai quitté, mais je garde le souvenir d’une histoire d’amour. Et puis il faut de l’énergie pour lutter contre le VIH, la haine n’est pas un bon moteur…
Mon fils Rémy est donc né infecté. Il a commencé le traitement avant même l’âge de 1 an. Et quel traitement ! Les médicaments pédiatriques sont extrêmement pénibles à prendre, peu pratiques, certains sirops sont amers, il faut parfois broyer les cacher pour arriver à une dose adaptée. Par moments, Rémy craquait. En 2003, son virus étant devenu résistant aux médicaments, mon fils allait de plus en plus mal. Il n’y a pas de mots pour décrire cette angoisse-là. Les médecins ont fini par trouver un traitement adapté. Aujourd’hui, il a 12 ans, il va bien, mais j’appréhende l’adolescence. Comment sa santé va-t-elle évoluer ? Va-t-il protéger ses partenaires quand il aura une vie sexuelle ? J’aurais besoin d’en parler avec d’autres parents, mais dans ma campagne les associations sont inexistantes ! Heureusement qu’il y a Internet…
Longtemps, je n’ai pas pu imaginer avoir un autre enfant. Impossible de dépasser cette perspective de la mort. Au bout de sept ans, ce désir-là est revenu. Les médecins me le déconseillaient plutôt. De plus, les centres d’aide à la procréation, ouverts aux séropositifs pour les aider à faire un bébé sans risques, sont rares, et les listes d’attentes longues. Mon ami, séronégatif, et moi avons donc conçu notre enfant normalement. Un coup de poker, un tabou, mais c’est comme ça. Le bébé n’a pas été infecté, et notre fille est née en bonne santé. La majorité des gens ne savent pas qu’une femme séropositive peut avoir des enfants séronégatifs. On nous prend encore pour des irresponsables, des égoïstes qui fabriquent de futurs orphelins…
Mais, en France, la prévention du virus de la mère à l’enfant est efficace. Si on est bien suivie et à temps, le risque de transmettre la maladie est d’environ 1%. Pour éviter d’être jugée, j’ai caché ma grossesse à tout le monde. J’ai accouché par césarienne, ma fille a pris de l’AZT au biberon, et je ne l’ai pas allaitée. Par la suite, j’ai repris un traitement qui m’a fait terriblement maigrir. À l’époque, les dosages étaient très mal adaptés aux femmes. J’étais si faible que je ne pouvais plus m’occuper de mes enfants. Alors, j’ai misé sur mes défenses immunitaires, et arrêté les médicaments, tout en conservant un suivi médical. Aujourd’hui, je suis d’accord pour reprendre le traitement si besoin. J’ai même commencé à travailler, pour la première fois de ma vie, à 32 ans ! Il est vrai qu’il y a douze ans, l’insertion profesionnelle des séropositifs n’était pas une priorité, puisque nous étions censés mourir dans les plus brefs délais. Je suis encore là, mon VIH aussi. Alors je profite du présent, en faisant attention à ma santé. Mes enfants ont besoin de moi. »
Dalila, 32 ans : « Sans les associations, je me serais suicidée. »
« Qui parle de VIH aux gosses des banlieues ? Quand on est au chômage, déscolarisé, pauvre, isolé géographiquement des associations et des hôpitaux, suivre correctement son traitement est une mission impossible. De plus, pour nombre de Maghrébines, le sida est encore une maladie honteuse. Certaines d’entre elles sont enfermées dans la culpabilité, mais aussi dans la religion, comme si le virus était le fruit du péché ! Dans ma cité, une ado s’est jetée par la fenêtre en apprenant sa contamination…
Moi, j’avais 18 ans quand je l’ai su. Beaucoup de gens m’ont fuie comme si j’avais la peste. Sans les associations, je me serais suicidée. C’est mon mari, polygame, qui m’a infectée ; aujourd’hui, je sui sen instance de divorce, mon époux à pris d’autres femmes, dont une jeune fille. Je l’ai prévenue de son état de santé, sera-t-il suffisant ? Comment peut-on imposer la capote à un homme quand on est une jeune immigrée mal informée ? Après quinze ans de séropositivité, mon espérance de vie n’est pas au beau fixe. Mais le temps qui me reste, je veux l’utiliser à bon escient, et créer, en banlieue, une maison ouverte aux Maghrébines séropositives et aux autres. »
Muriel, 45 ans : « J’ai positivé mon virus »
« J’ai découvert ma séropositivité par hasard, lors d’une biopsie. C’est mon ex qui m’a plombée. Après notre rupture, on s’était revus une fois. Entre-temps, il avait replongé dans la dope, sans me tenir au courant évidemment…
C’était en 2000. Depuis, j’ai apprivoisé mon virus. Mieux, je l’ai positivé. Ma vie n’a pas été rose : j’ai été une enfant placée, une femme battue, une mère célibataire au chômage avec cinq gosses ! Dans un sens, je suis sortie de cette spirale-là en chopant le virus. Je n’ai pas eu le choix : soit je m’écroulais, soit je le considérais comme une chance de m’en sortir. Je voulais reprendre mes études : le fait d’être reconnue « travailleuse handicapée » m’en a donné l’occasion. Aujourd’hui, je prends des cours pour devenir assistante sociale. En troisième année, le sida n’a toujours pas été abordé. Ce n’est pas étonnant que la stigmatisation des malades continue : l’information passe mal, les médias renvoient de nous une image de mourants squelettiques…
J’en ai plus qu’assez de ce discours misérabiliste ! Regardez-moi, je suis la preuve qu’on peut vivre correctement avec le virus, avoir un boulot, des amis, du plaisir, une vie quoi ! Les séropositifs, s’ils sont bien traités et à temps, ont une vingtaine d’années au moins devant eux avant que la maladie ne se déclare et tue. Certes, il y a la fatigue intense, les effets secondaires des médicaments…
J’ai une hépatite C, le VIH, mais à part ça je vais bien. Les médecins m’ont même proposé une pause thérapeutique. (Ndlr : dans certaines conditions très particulières, certains patients ayant un système immunitaire très satisfaisant peuvent, sous étroite surveillance, suspendre leur traitement pendant une courte période. Le but : « faire une pause » psychologique et diminuer les effets secondaires des trithérapies.) Le gros problème, c’est la vie sentimentale…
Pendant des années, je m e suis sentie dangereuse, coupable : je m’interdisais le bonheur, et donc les hommes. Et puis, avec l’aide d’une psy, ça s’est débloqué, et je me suis convertie à la religion des célibataires : Internet et ses sites de rencontres ! En taisant la séropositivité, pas de problèmes pour s’éclater, avec capote bien sûr. Mais, le plus souvent, j’avais à peine annoncé la couleur que les types se déconnectaient aussi sec. Ceux qui continuaient à chatter me sortaient des excuses bidon, du genre « j’ai des enfants, je ne veux pas qu’ils courent un risque si tu viens chez moi ». Il fallait tout réexpliquer, que le VIH ne s’attrape pas en touchant quelqu’un ni en buvant dans son verre…
On en est encore là en 2005 ! Certains acceptaient un rendez-vous, mais n’arrivaient pas à bander malgré leur désir pour moi. La féminité en prend un coup. Alors je me suis mise à fréquenter les sites dédiés aux malades : mais entre ceux qui cherchent une infirmière et ceux qui souffrent tellement de solitude qu’ils veulent t’épouser sur-le-champ, c’est une belle fenêtre sur la misère affective des séropos ! Donc, retour sur les sites standards, où j’ai rencontré Marc. Après le premier câlin, protégé, j’ai craché le morceau : « Je suis séropo. » Sa réponse ? « Moi aussi, ça tombe bien ! » Entre nous, c’est simple, on connaît la maladie et comment ça finira. Cette perspective peut ruiner un couple. Quand l’un va mal, il renvoie à l’autre l’image de sa propre fin. Mais, avant d’avoir un pied dans la tombe, il nous reste beaucoup de choses à faire : l’amour, des projets, et même un enfant, pourquoi pas ? »
Flauberte, 40 ans : « Je tiens le coup pour mes enfants »
« Au Cameroun, j’étais prof de sport. En 1998, je suis venue à Rouen pour un stage d’athlétisme : c’est alors que l’on diagnostiquée positive. Je n’y ai pas cru : Dieu ne pouvait pas me lâcher comme ça, il allait me guérir. J’ai mis du temps à accepter cet étranger qui squatte dans mon corps. Quand je lui ai annoncé ma séropositivité, l’ami qui m’hébergaie m’a virée. Je passais mes journées dans la rue, et mes nuits dans un centre pour SDF. C’est grâce à Médecins du Monde et à l’Aide médicale d’Etat [1] que j’ai pu être soignée. Aujourd’hui, j’ai un traitement correct, mais j’en ai payé le prix : j’ai perdu mon travail d’enseignante, une de mes meilleures amies m’a rejeté, moi et ma « saloperie de maladie » ; j’ai vu mes enfants deux fois en sept ans. Pour les faire venir en France, il fallait de l’argent : l’Etat me demandait d’avoir un F4 et 900 euros de revenus mensuels. Pendant des mois, je me suis donc levée à 4 heures du matin pour faire des ménages jusqu’à 18 heures. Je n’ai pas tenu le choc : dépression, épuisement…
et le virus en a profité pour proliférer. Mais aujourd’hui, grâce à mes économies, mes gosses vivent avec moi. Financièrement, c’est dur : je n’ai plus le téléphone, et on menace de me couper l’électricité. Mon corps est déformé par le sida, j’ai développé un cancer du col de l’utérus et perdu l’appétit, mais je tiens le coup pour mes enfants. Il me reste à leur annoncer ma maladie. C’est mon prochain défi. »
Propos recueillis par Sophie Henry
Marie et Dalila sont membres du Comité des familles pour survivre au sida tél. 0870 445 368. Émission de radio le mardi à 17h sur FPP 106.3 FM.
Notes
[1] Dispositif permettant aux sans-papiers de bénéficier de soins gratuits, dont l’accès a été, depuis, restreint.
Forum de discussion: 42 Messages de forum
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bonsoir
je suis eva ,je suis malade depuis 4ans , mais depuis 6mois je suis sur un traitement(neverapine+duovir)un comprimé chaqu’undeux fois par jour.
Est ce que j’ai la chance de faire un efnt sain ?
j’ai un ami depuis cette année là, mais il refuse de partir à l’hopital.
j’ai eu une fille ;elle a 6ans n’est pas en bonne santé, mais ne prends encore rien.
Depuis que je prends ses médicaments ,je n’ai plus fait d’examens.
Que me conseillez vous ?
s’il vous plait je voudrais faire un enfant aidez moi
Dite moi ce qu’il faut faire...
la marche à suivre ?
Bonne année Santé et Prospérité Amour Bonheur
Eva
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le mieux c de voir un docteur il y’a des hopitaux car reste comme cela sans suivi pe compliker ta situation car chak s+ est un cas particulier g ve dire chacun a ses specificite il y’a en ki resiste d’autre moins mais cela tu le sauras k’a l’hopital avec ton docteur sinon c possible de faire un enfant saint c sur et certain ! bon courage et persevere dans la lutte !
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je trouve ces quatre jeunes femmes tres courageuses de parler de leur maladie, le virus du sida. Je pense que c’est important pour les jeunes de maitenant (dont moi, j’ai 13 ans) de se proteger pour ne pas attraper ce virus et de surtout avoir confiance en son compagnon avant d’avoir des rapports sexuels. Bon courage a toutes.
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bonjour a toutes celles qui ont témoigné
je voudrais juste dire bravo à ces personnes qui ont témoignés. je voudrais leur dire aussi merci car c’est grâce à des témoignages que la médecine avance, mais ceci beaucoup trop de personne ne s’en rende pas compte. bon courage
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salut les amis vi cé moi marie ou aline osi lol dc voila je me suis retrouvée dc avec ma foto ds elle avec ecrit seropo en gros j’étais pa prevenue dc pour ma part je dirai ke l’année prochaine pourront mieux faire encore car les problemes vih et les femmes n’ont pa été ts exposer je pense aux problemes liees a la prevention ds le milieu de la prostitution de la toxicomanie et a la prise en charge des malades immigrés osi encore bcp de boulot mais grace a vous les choses evoluent sinon pour le rire dc ma belle mere m’a vue ds elle on s’etaient pas parler depuis 2 ans et voila k’elle m’appelle pour me demander des nouvelles sinon les docs ke je vois a toulouse pour mon fils osi m’ont reconnue ils esperent ke ce temoignage n’aura pas de consekences negatives comme cela a pu arriver a d’otres personnes sinon du coté de mon boulot il semblerai ke cela soit passeer inaperçu mon boss (pas son genre a lire elle)m’a parler hier du prolongement de mon contrat pour une année je vs embrasse au plaisir de vs entendre chaque semaine aline
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bonjour aline et tous les autres. je m’apelle caroline et je suis éléve a angers en terminal en scinece-médicaux et sociales. pour le mois de mars nous devons avec deux autres camarades présenté un exposé sur le SIDA . cet exposé a pour but d’informer les gens et surtout de faire de la prévention. je trouve que c’est vraiment une bonne chose et sa me tien trés à ceour de faire cette exposé mais pour cela , pour que les ado prenne vraiment conscience de la maladie jaurai aimé pouvoir rentré en contact avec des personnes atteinte qui porrait témoigner j’espere que personne ne trouvera ce geste déplacé répondez moi slp merci d’avance
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je suis un theologien, je travaille avec les jeunes sur le VIh, j’aimerais avoir plus de connaissance afin d’aider les autres en effet,n’est il pas permis que je sois participé à cet exposé ? ’j’attendstes réactions.
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hello caroline ,je vient juste de voir ton message et merci je t’encourage pour ton expose, pour ma part je fait des temognages depuis 7 ans dans les colleges, c’est avec plaisir si je peu t’aider va deja ecouter mon message sur mes temoignages, le site survivreausida.net radio des seropositifs qui grace au conseil des familles je peu avancer contact moi pour plus d’infos,au plaisir madeleine
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Salut à tous ! Aider moi : moi je suis seronegative et mon ami seropo. alors comment faire pour avoir un enfant sans être contaminé ? j’attends vos réactions. encore merci
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Il faut passer par l’assistance médicale à la procréation (AMP) avec une technique qui s’appelle le lavage de sperme pour retirer le virus du sperme de votre compagnon, et ensuite faire une insémination. C’est le seul moyen de faire un bébé sans prendre le risque d’être contaminée.
Avoir une charge virale indétectable dans le sang ne veut pas dire qu’on ne peut contaminer, malheureusement.
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Bonjour Muriel,
j’ai été touché par ton message et tu as presque la réponse à toute mes questions s’il te plait répond moi par mail et tu auras sauvé une vie je compte sur ta bonne compréhension merci MICHELE
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Michèle, je suis tout à fait prête à t’aider mais pour cela il faut que tu me donnes une adresse mail ou une adresse msn pour que je puisse discuter avec toi. Je ne suis pas Dieu pour sauvé des vies mais si je peux t’apporter soutien et conseils, je le ferais de tout coeur. Tu peux me contacter directement à l’adresse mail Marie_mitou@hotmail.com A très vite et n’oublie jamais qu’on est seul à pouvoir décider pour soi et que la force ne nous quitte jamais quoique l’on croit
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BONJOUR,Mesdames ;je suis etudiante infirmiere,actuellement je fais une enquete sur les repercutions familiale et social d une presonne atteinte seropositive.Donc je voudrais savoir s il esdt possible de discuter avec une personne sur ce theme,je remerci d avance celle(s) qui accepterai de temoigner
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bonjour je veus bien faire un temoignage pour toi recontacte moi
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bjr, moi je suis un homme séropositif depuis 19 ans, j’ai été contaminé par transfusion sanguine avec aussi en cadeau l’hépahhite c, je vis complètement en repli avec la peur et la honte de mes 2 virus présents ds mon organisme
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bonjour moi j’ai etait comtamine par mon compagnon qu etait au courant de sa maladie depuis 6 ans cela fait un mois a peu pres 1 mois d’encaisser la maladie et toute les epreuves que je traverse sont difficiles je me retrouve seule entourer que seulement de 4 amis qui m’aide mais pas de famill......
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slt , je sais que c’est mal votre probleme moi jr me nome vannesa j’ai 23ans et j’aimerai aider les personnes, qui ont le vih ; parceque cela n’est pas possibles de baisser les bras et voir les gens mourir autour de vous, tu c je connais le seigneur , c pour que tu saches , que ce dieu te connait et connait ton pb plus que moi plus que tes amis c pas ton ami qui te donne la vie sur cette terre c dieu et il peu faire quelque chose si tu lui accepte le sais -tu ?????? est confiance en lui , t’auras la paix du coeur demande lui ce que tu tu dois faire pour lui , ;nous avon tous une mission sur cette terre, ne vois pas que c la fin de ce monde , y’a des gens qui vivent sans le sida une vie médiocre, et sans paix et tu dois avoir la foie , le soir avent de dormir met toi à genout et pris invoque le seigneur et il va te répondre il l’a dit invoque moi je te répondrais (jerémie33) mon mail est mtvgentille@yahoo.fr
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bonjour,
Mon quotidien avec le VIH est identique à une personnes négative. Je fais les memes choses, je me lève, je déjeune, je m’apprete à sortir, je fais mes courses, je ballade mon chien, je vais au restau, je vais dans des associations, des banalités ! Je sors avec mon copain et notre chien, une fois par mois en Espagne, ballade, courses. Je ne suis pas différente des autres mis à part le fait d’etre malade ! ça va, cela ne se voit pas, je ne suis pas cadavérique, bien portante et encore jolie, je passe bien ! Je ne voyage plus mais ce n’est pas grave, j’ai déja assez voyagé et puis ça m’a valu le VIH ! bises.
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Bonjour, je voudrais savoir si il existe des symptômes du virus du sida ? si notre corps nous alarme en quelque sorte ? je suis séronégative, mon ami également malgré que son test, il l’a fait environ quinze jours après son dernier rapport sexuel non protégé. Depuis je ne cesse de me poser des questions sur le fait que c possible qu lui soit séropositif et du coup j’ai peur pour moi, j’ai peur de faire le test, j’ai peur de découvrir la vérité alros je souhaitearis vraiment savoir si notre corps nous alarme ou bien avons nous l’impresssion d’avoir une bonne santé, de ne pas etre malade tout en étant infecté du sida. Merci de répondre dans les plus brefs délais merci à tous à l’avance et bon courage !!!
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Bonsoir, j’aimerai te dire ke tu n’es pas seule j’aimerai bien te connaitre, moi ma vie m’ennuie et cherche une belle rencontre si tu as envie de me parler fais le
bon courage à toi bisou
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bonjour j ai vu votre message et j ai besoin de parler j ai decouvert ma maladie depuis le 10 juin et la j essais d assumer le coup je pleure souvent j arrive pas a accepter les choses j ai 3 enfants une sur les 3 le sait pas les autres car je ne sais pas comment leur dire j ai trop honte de moi j ai besoin de parler j ai des amis mais jamais je leur dirais si vous pouviez m aidez a accepter ma maladie ca m aiderais a prendre le dessus merci a vous a bientot
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bonsoir ; il existe l’association le comité des familles ,et un samedi par mois une journée est consacré aux personne concernés par le vih (rencontre de maman papa repas et autres activitées permettant de créer du lien . a bientot je l’espère...
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bonjour je suis de tous coeur avec vous fasse à votre maladie ; j’ai ma petite soeur qui a egalament contrater le virus elle est dans le denis total sa me fait mal q’elle ne fasse pas confiance , elle à deux enfants un de 8 ans et l’autre de 5 ans elle est enceinte du 3, nous ne vivons pas dans la meme regions je souffre de cette de situation , je suisz aller cet étè lui rendre visite , j’ai étè malade de voir comment ,elle vie , elle abonndone c’est deux enfants pour aller avec le mr qui lui transmis la maladie , elle ne prend soin d’elle , elle se met sur la défensive quand j’esaye de la raisonner , je compend quelle souffre mais elle ne me comprend ;je lui ai dit la maladie elle on ne peut pluis faire autrement mais prend soin de tes enfants et de toi c’est duir je sais en n’ayant une bonne hyiene de vie on peut vivre lontemps ,je souffre vraiment ;je ne la juige pas mais j’aimerai quelle comprennne que je l’aime
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bonjour,
si tu te poses des questions quant à une éventuelle séropositivité alors prend ton courage à deux mains et vas à l’hosto pour faire un test sanguin( une prise de sang), tu connaitras la réponse une semaine plus tard, ne reste pas dans l’incertitude !
Sinon, les symptomes les plus répandus sont des ganglions sous les bras, à l’aine mais le mieux pour le savoir est de se faire dépister, c’est rapide !
Surtout, si tu es négative alors fais gaffe de ne pas choper le virus, te voila prévenue et sois prudente car etre séropositive c’est la grosse galère ! N’attends pas ! Le VIH est une maladie à part, elle ne se voit pas toujours mais tu sens sa présence et elle te gache la vie. Le virus est en toi, tu le sens à chaque moment de la journée meme après plus de 20 ans de maladie. Je ne veux pas te faire flipper, juste te faire réagir !
Courage, amitié, Victoire.
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je veux bien discuter avec vous si cela peut vous aider
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Je voudrais discuter avec vous à coeur ouvert.
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Bonjour. J’ai aujourd(hui 52 ans.A ma demande ; J’ai appris ma séropositivité en 1985 en milieu carcéral.Ici n’est pas lieu pour évoquer mon parcours , tant émotionnel que relationnel, affectif ou sexuel. Ceci dit aujourd’hui je suis là. Dans une santé physique relativement confortable, avec un désir de plus en plus ancrer de vivre. Mon message aujourd’hui est(de par mes expériences de vie que toutes les thérapies (indispensables) sont actives. Cependant leur action ne peut être optimisée que si l’on se bat pour s’investir des sentiments de PAIX (en soi)puis d’AMOUR(des autres, de la vie...). Ainsi j’ai appris à me battre non PAS CONTRE mais AVEC mon SIDA. Je souhaite échanger sur ce vécu. Le partager m’aidera . Loïc
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Je suis une jeune femme séropositive ayant le désir de concevoir un enfant avec son mari qui, est séronégatif.
J’aimerai avoir des conseils afin d’appréhender cette épreuve car lorsqu’on est séropositif l’on se pose des questions telles que : la survie de l’enfant, sa contamination.
Que toutes les personnes qui sont dans ma situation et qui ont déjà traversé cette étape me donnent leur point de vue.
D’avance je vous remerie
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je recherche le temoignage d’une mamn atteinte du sida je voudrais savoir ce qu’elle a ressenti lorsqu’elle l’a su, s’est elle fait exclu par sa famille,comment l’a telle annoncer à sa famille
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moi-m seropositif, je m’appercoit que des personnes vivant avec les virus pouvait avoir une vie conjugale avec des seroinegatif et meme faire des enfants. les rapprots ne sont elles pas aussi risqués pour la personne qu’on aime ?
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puis-je entrer en contact avec monopibe en vue de mieux discuter ? Mon Email c’est koustephan@yahoo.fr Merçi d’avance
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c’est difficile c’est mon cas mon mari et séropositif il a 49ans et moi je suis séronegatif je ne sais pas quoi faire j’apeine 29ans lui il a eu au moins 4enfants et moi je ne pas d’enfants dit moi qu’est-ce que je peux faire de rompre ou de continue avec de rapport sexuel protéger
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Bonjour à toutes, je travaille sur l’adolescence des garçons et des filles séropositifs, dans le but d’améliorer leur prise en charge et de leur doonner la possibiliter de s’exprimer tout en aidant les ados dans le même cas(mémoire de DEA en psychologie). Je souhaite faire 2/3 entretiens de 30 mn pour écouter ce qu’ils ont à dire à ce sujet( rémunéré 60e). N’hésitez pas !
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Voila, j ai rencontre un homme avec qui je m entand super bien, nous nous sommes rapprochés sans pourtant avoir de relation sexuelle mais dernierement etant encore plus proches il a decider de prendre ses distances, il continue de me cotoyer et on s entend toujours autant mais pour notre proximite, il reagit de façon bizare. Je pense qu il est seropositif, je ne sais comment en parler avec lui, je tiens enormement a lui.
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH, un nouveau départ.
EUROPE LOIRE FRANCE ENFANTS SIDA ASSOCIATION HUMANITAIRE INTERNATIONALE DE LUTTE CONTRE LE SIDA ALLIANCE ASSOCIATIVE HUMANITAIRE AFRIQUE-EUROPE-OCEANIE-PACIFIQUE ASSOCIATION LOI 1901 : N°0442030514 Enregistrement CNIL : N° 1092459 SIREN : N°482.122.223 Code APE/ 913E SIRET : 482.122.223.00019 Mail : christian.vasselin@tiscali.fr Tel : 02/28/07/39/69 Site : http: //associations.elfes.free.fr 11,Rue François Bonamy 44300 Nantes / France
De Monsieur VASSELIN Christian Président E.L.F.E.S
Bonjour,
EUROPE LOIRE FRANCE ENFANTS SIDA, est une Association de lutte contre le sida, créée officiellement le 23 mars 2005.
Le message que je voudrais faire passer est un message d’espoir, de vie, de combat pour la survie.
Au delà de la maladie, de ce qui l’entoure, il faut souvent se reconstruire, reprendre un nouveau départ.
Fondateur et Président de cette organisation, touché personnellement par cette maladie depuis 1988, soigné sous tri-thérapie, suivi au CHU de Nantes dans le service de maladies infectueuses du Professeur François RAFFI, je peus dire que je supporte bien le traitement, (Combivir-Sustiva), ce qui me donne la possibilité d’avoir une activité normale.
Ce qui est important, c’est le combat intérieur, ne jamais baisser les bras, il est certain que quand on a un tempérament fort, un bon entourage, c’est peut-être plus facile.
J’ai choisi personnellement cette voie, donner aux autres ce que nous avons souvent le plus besoin, de l’écoute, de l’espoir, redonner le goût de vivre.
En choisissant de créer une association humanitaire de lutte contre le sida, j’ai redonné un sens à ma vie, un but.
En tant que personne responsable, ayant des amis décédés du sida, étant moi-même touché, journaliste, j’ai pu constaté l’étendue de ce fléau sur et parmis les jeunes, le manque de campagnes d’informations publiques suivies, objectives à ce sujet, ce qui a étè le point déterminant de mon engagement et de la création de cette association.
Nous avons un mode de fonctionnement un peu différent de beaucoup d’autres Associations Humanitaires. Au sein de notre organisation nous sommes tous bénévoles, tout le monde participe à nos actions, de façon complétement libre sans contrainte ni obligation d’astreinte à des heures de permanence, chacun de nous donne de son temps selon ses disponibilités. Nous voulons à travers cette démarche de solidarité et du coeur respecté les choix de chacun. Ce qui donne un dynamisme supplémentaire à notre engagement, ainsi qu’une bonne entente dans notre équipe. Nous sommes actuellement constitués d’un groupe d’une trentaine de personnes. En majorité des étudiantes,étudiants (fac de médecine, socio, autres) et des personnes évoluant dans le secteur social.
Il ne faut pas oublier que nous sommes une jeune organisation humanitaire, nous fêterons prochainement les 1 an de notre Association, créée le 23 mars 2005.
Notre but essentiel étant d’apporter aides et soutiens, aux étudiants, aux adolescents ainsi qu’aux jeunes femmes isolées avec enfants, séropositifs ou étant touchés par le VIH-SIDA. Et surtout de développer nos actions de préventions au plus proche des jeunes.
Nous sommes une des seules Association Humanitaire ayant cette unique spécificité dans notre région, les autres Associations et Organisations Humanitaires (FAISANT UN TRAVAIL DE TERRAIN FORMIDABLE), s’occupent souvent de ce problême de santé publique d’une façon globale sur l’ensemble des couches de la population.
En France et plus particuliérement dans notre région, notre principale activité est l’organisation de campagnes de prévention envers les jeunes.
Notre volonté est de mener nos actions sur les campus universitaires et à travers les maisons de jeunes et de quartiers. Notre siége étant à ce propos dans une maison de quartier, ceci afin d’être au contact des jeunes, à leur écoute, instaurer un véritable dialogue constructif et bénéfique pour le bien de tous. Nous ne voulons pas être des donneurs de leçons ou des moralisateurs, juste apporter un message de prudence et être un relai de confiance entre eux, et les services sociaux et médicaux.
Aujourd’hui beaucoup de jeunes sont en danger face à cette maladie et malheureusement mal informés des conséquences.
Sachez que je reste à votre entiére disposition pour de plus amples informations nous concernant.
Nous vous remercions d’avance de votre gentillesse à notre égard.
Veuillez recevoir nos plus sincères et cordiales salutations distinguées.
Christian VASSELIN Président E.L.F.E.S
Notre message pour le début de cette année :
Appel d’urgence humanitaire 1 euro symbolique peut participer à sauver une vie
Solidarité Sida LA LUTTE CONTRE LE SIDA EST UNIVERSELLE
Le Sida Grande cause Nationale durant l’année 2005 Il ne faut pas baisser les bras, plus que jamais nous devons continuer en 2006
Bonjour Mesdames, Messieurs, Nous sollicitons à travers cet appel, votre générosité, votre bonne volonté
Europe Loire France Enfants Sida est une organisation humanitaire internationale qui à pour objet (la lutte contre le sida en faveur des enfants malades) à l’échelle Nationale et Internationale.
L’aide aux enfants et aux jeunes femmes isolées avec enfants touchés par le VIH/SIDA.
Le soutien et le secours aux enfants des rues
La Défense des Droits Fondamentaux des enfants
La collaboration, le partenariat avec les petites et moyennes associations et ONG, sur le plan international, ayant les mêmes orientations et objectifs que notre organisation humanitaire.
Chaque jour, chaque heure, des enfants souffrent et meurent du sida, faute de soins, d’aides et de soutiens, nous pouvons ensemble inverser cette situation dramatique, nous avons besoin de vous et de votre participation pour eux, les aides et les dons que nous pourrons collecter avec votre collaboration, iront en totalité pour améliorer le bien être et la santé de ces enfants que notre organisation humanitaire secours.
Même si vous aidez d’autres organisations humanitaires, votre soutien est nécessaire Nous avons conscience que beaucoup d’associations ont des besoins et vous sollicitent, une participation aussi minime soit - elle apporte une pierre à l’édifice.
Rejoignez notre équipe de bénévoles, réagissons ensemble ! Nous sollicitons votre bienveillance, votre générosité et votre coeur pour agir avec nous Faire connaître notre action et apporter votre concours pour nos opérations humanitaires
MERCI POUR EUX
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH, un nouveau départ.
je suis audace et je vis au burundi.ce message est très constructif.accepter de vivre avec la maladie positivement.alors ,moi je vis au Burundi et avec les dix ans de guerre il ya eu beaucoup de cas d’infection.je suis le responsable d’une association appellé centre d’écoute et d’aide à l’enfance sans défense et je cherche des partenaires pour initier des projet de prévention et de prise en charge du VIH/SIDA.merci pour vos informations et pourdes contacts eventuels pour des personnes qui voudraient bien venir travailler avec nius au Burundi.
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH, un nouveau départ.
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Bonjours je suis une éléve de 3eme et dans le cadre d’une étude en technologie et svt j’ai choisi de faire un dossier sur le sida et pour sa je me suis beaucoup renseignier mais je voudrais parler en directe avec une personne atteinte du sida... je souhaite bon courage au personne atteinte de cette maladie... amicalement
Elodie
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
tt simplement vous dire de tenire bon et ne pas lacher prise.si cette maladie n etait en raport avc le sex, les gens se comporteraient differament ,et com c le cas , je dis le mnde est fomidable vivons seulement........
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
étudiante infirmière vos témoignages m’interessent, écrivant un mémoire sur le vécu des femmes séropositives concernant leurs traitements. merci par avance de me répondre
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Puis-je rentrer en contact avec Marie ? Merci d’avance. Mon email : ebass5@yahoo.fr
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Qu’elles sont les risques pour une femme sero positive de faire un enfant infecte et comment elle peut etre suivie pour pretendre un enfant normal bien entendu avec un conjoint saint .
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Vivre séropositives : Elles racontent leur quotidien avec le VIH
Qu’elles sont les risques pour une femme sero positive de faire un enfant infecte et comment elle peut etre suivie pour pretendre un enfant normal bien entendu avec un conjoint saint .