Une idée de prévention : des capotes plus attractives pour les jeunes
26 septembre 2005 (papamamanbebe.net)
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Tous les jours des jeunes sont infectés par le VIH en France. Le préservatif n’a pas vraiment la cote, mais c’est le moyen le plus sûr de se protéger. Alors que pourrait-on faire ? Pourquoi ne pas le rendre plus attractif, un objet de consommation comme un autre et, pourquoi pas, moins cher ?
Pourquoi n’aime-t-on pas le préservatif ?
La capote est-elle vraiment banalisée ? Pourquoi ne voit-on pas de préservatifs dans les films lors des scènes d’amour ? Pourquoi les marques de préso ne font pas de pub ? On n’a pas honte d’aller en pharmacie acheter des pilules contraceptives, pourquoi aurait-on honte d’acheter des capotes ?
Les jeunes adorents les marques et ce qui est à la mode. Alors voilà ma petite idée : les marques de sport s’associeraient aux fabricants de préservatifs et aux associations de lutte contre le sida pour créer des préservatifs "de marque", sans que cela influe sur le coût d’achat des capotes, bien sûr. Il s’agirait donc d’une sorte d’"autorisation" pour l’utilisation de la marque, gratuite.
Et puis il n’y aurait pas de TVA sur les capotes et la publicité des diverses marques de capotes serait facilitée.
Les pilules contraceptives sont remboursés par la sécu, pourquoi pas les préservatifs ? Il faut rendre les préso moins chers, plus banaux et plus attractifs. C’est une bonne idée ou c’est du délire ?
Forum de discussion: 1 Message
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Une idée de prévention : des capotes plus attractives pour les jeunes
Je suis certain que ce ne sont pas les préservatifs que nous fournissent ceux qui ne nous ont jamais vraiment aimés, qui sauvera notre Afrique du fléau du SIDA. Il nous faut un changement en profondeur de mentalités. Tant que nous ne ferons pas un effort pour nous maîtriser un peu, il y aura toujours le SIDA. Les préservatifs entrent dans la nouvelle forme de colonisation et d’esclavage. La première lutte contre le SIDA, c’est la lutte contre lpréservatifs qui aident les AFRICAINS à se pervertir davantage.